Le 21 novembre 2012, le Tribunal d’application des peines de Paris s’était déclaré favorable à sa libération conditionnelle mais avait ajourné sa décision finale à plusieurs reprises pour laisser le temps au ministère de l’Intérieur de délivrer un arrêté d’expulsion.
Cet arrêté d’expulsion n’a jamais été pris par Manuel Valls que nous avions solennellement interpellé à ce sujet le 26 février et dont la responsabilité est clairement établie.
Georges Ibrahim Abdallah, libérable depuis 1999 et victime lors de son procès d’une manipulation des services français, est à nouveau victime de la raison d’État.
Nous dénonçons là, une nouvelle fois, une inacceptable soumission aux injonctions américano-israéliennes.