2 octobre 2013
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- à Paris pour deux jours, je découvre beaucoup de photos du7 e Festival d'Oran du Film Arabe où j'ai encore eu la joie d'animer un atelier avec des étudiants en cinéma.Merci à tous encore une fois vous m'avez donné beaucoup plus que j'ai reçu.
J'ai eu le plaisir aussi dans le cadre de ce Festival, de présenter mon film "ils ont choisi l'Algérie" ,suivi d'un débat très riche sur la participation d' européens à la lutte du peuple algérien pour se libérer du joug colonial.
Je ne rentrerai pas dans les polémiques sur le Festival , je dirai simplement, même si comparaison et raison sont deux réalités différentes, nous ne l'ignorons pas, que le festival de Cannes ne s'est pas fait en une journée ,il a connu beaucoup de crises, et il est même arrivée certaines années, de ne pas pouvoir se tenir.
j'ai passé la plus grande partie de mon temps à encadrer des jeunes passionnés de cinéma qui ont réalisé en une semaine un court métrage de qualité, par ailleurs j'ai vu que le jury du court métrage à primé le film d'un jeune réalisateur algérien et reconnu son talent, des signes d'espoir oui il y en a et je les ai vus au 7e FOFA.Bravo et merci.
J'ai affirmé, et certains m'en veulent pour cela " que le cinéma algérien décolle, redécolle lentement" cela ne sera possible vraiment que grâce à la puissance de la formidable poussée d'énergie de sa jeunesse, dans la continuité du sacrifice de ceux qui ont libéré ce pays.Je persiste et signe l'espoir existe, je l'ai rencontré à Oran aussi, comme à Akbou récemment, comme à la commémoration du Congrès de la Soumam.
Jean AsselmeyerPartager cet article
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