Oui, comme l'a si bien décrite ci-dessous, Marian Lacombe, quelle soirée!
J’avais été un peu frustré en début d’émission, de ne pas voir davantage les monuments de Paris. A cause de la pluie sans doute, mais très vite un équilibre fut trouvé et les vues de Paris la nuit, illuminée, furent fabuleuses. Et il y eut, Céline Dion. Je ne suis pas un de ses fans, mais son interprétation de l’Hymne à l’amour fut bouleversante, digne d’Edith Piaf.
On lira également l’hommage rendu pat les athlètes algériens aux victimes du 17 octobre 1961. Bernard Deschamps
Marian : « C’était incroyable. Mes aïeux quelle cérémonie!!!
L’art de recevoir à la française, la beauté de Paris, l’inclusivité, l’impertinence et la pertinence.
Quelles images. Lady gaga en zizi jeanmaire, le défilé sur la Seine, la monnaie de Paris, les danseuses qui flottent dans le ciel, les minions, Marie Antoinette la tête dans ses bras avec Gojira, l’incroyable featuring de aya nakamura avec la garde républicaine, la marseillaise, le trouple à la bnf de Richelieu (on est français et on fait ce qu’on veut), l’incomparable Philippe Katherine en Bacchus schtroumpf à poil (on vous a dit qu’on faisait ce qu’on voulait?), Juliette armanet et son piano en feu qui chante imagine, le galop du cheval d’argent sur la Seine, les effets pyrotechnique (le rideau d’eau, les papiers, la patrouille de France qui fait un cœur, les lumières de la Tour Eiffel) les derniers relais des athlètes incroyables (dont Mika Guigou et Alisson pinault) avec un rythme et une gradation extrêmement bien construits.
Et la vasque. Quelle idée incroyable que d’élever la flamme olympique au dessus de la ville. Au regard de tous partout dans la ville
Et Céline. La dernière chanson d’une vedette mondiale. L’hymne à l’amour.
Ça c’est Paris. Ça va aller. »
Marian Lacombe
C’est un acte très symbolique lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris ce vendredi 26 juillet. Lors de son passage sur la Seine, en début de cérémonie, la délégation algérienne a rendu un hommage aux 300 manifestants algériens pacifiques qui ont perdu la vie le 17 octobre 1961 à Paris sous les coups de la police française, dans un contexte de guerre d’indépendance algérienne.
Des membres de la délégation ont alors jeté des roses dans la Seine, dans laquelle 150 cadavres furent repêchés.