Présentation par Wikipédia :
« Riposte laïque est un site web d'extrême droite créé en septembre 2007 qui se présente comme appartenant au mouvement laïc. À l'origine de plusieurs controverses (rapprochement avec l'extrême droite, participation à des actions communes avec le Bloc identitaire, le site consacre la plus grande partie de ses articles à une islamophobie ouvertement déclarée […] Le journal en ligne Riposte laïque est de langue française. Cependant, depuis le 12 octobre 2012, il est édité par l’association Riposte laïque Suisse en raison des polémiques violentes qu'il suscite. Cette délocalisation ne l'immunise pas de conséquences judiciaires, cependant : ainsi, il est poursuivi en 2016 pour incitation à la haine […] En 2014, Riposte laïque soutient l'organisation d'une manifestation en faveur d'un référendum sur la remigration ; Tasin et Cassen y prennent la parole. […] Riposte Laïque est à l'origine de l'association Résistance républicaine.
Leurs dirigeants et collaborateurs:
L’Ordonnance de renvoi devant le Tribunal correctionnel de Nîmes rendue le 10 décembre 2019, à la suite de ma plainte, indique :
« Bernard Deschamps expliquait qu’il ne connait pas Martin Moisan, l’auteur de cet article (objet de ma plainte, ndlr) ni Guy Sebag désigné comme directeur de la publication du site Riposte laïque.
« Il est également constaté que sur le site WWW.resistancerepublicaine.eu demeure un article intitulé « il aime « Allah Akbar » le communiste Bernard Deschamps est-il un assassin en puissance ? mis en ligne le même jour que l’autre article et rédigé par Christine Tassin. »
« Une Commission rogatoire était ordonnée le 25 juin 23018 notamment aux fins d’identifier la domiciliation de Martin Moisan, Guy SEBAG et Christine TASIN […] Il ressortait que Guy SEBAG ne résidait plus en France mais s’y rendait occasionnellement étant domicilié […] en Israël et que Martin MOISAN était domicilié au QUEBEC […] Christine TASIN reconnaissait être l’auteur de l’article […] Christine Tassin était alors mise en examen pour diffamation, injures publiques envers un particulier […] et provocation publique ou à la haine ou à la violence. » (surligné par moi, BD).
Le procès aura lieu le jeudi 13 février à 14h. devant le Tribunal correctionnel de Nîmes.