M. Khaled MOUAKI BENANI (à droite sur la photo ci-jointe) ancien Consul d'Algérie à Montpellier serait nommé à une direction du Ministère algérien des Affaires Etrangères.
Le Soir d'Algérie, 18/01/2015
Changements chez Lamamra Les diplomates algériens qui étaient en poste à l’étranger et qui n’avaient pas été renommés au dernier mouvement dans le corps diplomatique, sont convoqués au niveau du ministère des Affaires étrangères, qu’ils sont tenus de rejoindre à partir d’aujourd’hui, avons-nous appris de bonne source. Ces anciens ambassadeurs ou consuls avaient tous été rappelés sur Alger, qu’ils devaient rejoindre au plus tard jeudi 15 janvier dernier. Certains parmi eux ne «chômeraient» pas de sitôt, cela étant. Kamel Amarni - Alger (Le Soir) Selon notre source, effectivement, de nombreux diplomates qui étaient en poste à l’étranger bénéficieront de nouvelles nominations au niveau du ministère qui connaîtra un vaste mouvement interne, très prochainement, nous confie-t-on de même source. Ainsi, est-il question d’un nouveau directeur général du protocole, en l’occurrence Lounes Magramane, ancien ambassadeur. Trois autres anciens ambassadeurs sont également pressentis à la tête d’autres directions. Notre source cite Rachid Belahane comme futur directeur général des affaires politiques et des libertés internationales ; Mohamed Boutache comme nouveau directeur général des ressources, et Kaïd Slimane Lahcene comme directeur général Afrique. Quant aux ex-consuls, deux au moins seront «recyclés» au niveau du ministère. Notre source évoque le nom de Habbak Menad comme nouveau directeur des cérémonials et de Khaled Mouaki Benani qui hériterait d’une autre direction. Ce genre de mouvement, routinier dans un département très spécifique comme le ministère des Affaires étrangères, n’en tient pas moins en compte, à chaque fois, de la conjoncture internationale et des priorités de la diplomatie algérienne. Et sur ce plan, le département de Ramtane Lamamra est constamment interpellé, ces dernières années, par une multitude de fronts extrêmement «chauds» comme le Sahel, la situation en Libye, et dans toute la région, les multiples foyers de tension à nos frontières et leurs corollaires, le terrorisme et la contrebande, de nouveaux défis d’ordre économique qu’impose la chute brutale des prix du pétrole en plus des dossiers traditionnels comme la question du Sahara occidental, les relations avec l’Europe et surtout la France, etc. K. A. Source de cet article : http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2015/01/18/article.php